Auberge du Vieux Puits
(Fontjoncouse)
Ici, Gilles Goujon, Chef distingué de 3 étoiles au Guide Michelin, transporte ses convives grâce à la force de goûts affirmés. Dans les assiettes, les contrastes sont passionnants. Le raffinement des présentations et l’apparence ludique des plats rencontrent des saveurs franches, riches de caractère et qui démontrent le résultat d’un travail extraordinaire.
Restaurant Serge Vieira
(Chaudes Aigues)
Doté d’une architecture contemporaine, en verre, bois, acier oxydé et pierre de lave, le Restaurant Serge Vieira plonge immédiatement le visiteur dans une atmosphère particulière où le confort et l’élégance n’ont d’égale que la quiétude et la douceur d’un véritable espace privilégié. Ici, la salle de restaurant est de plain-pied, s’ouvrant sur l’extérieur par de larges baies vitrées d’où l’on peut admirer à perte de vue la beauté et l’immensité des paysages du Cantal.
Le Fanal
(Banyuls-sur-Mer)
Juste devant le port de Banyuls, laissez-vous guider par les lumières de ce Fanal et de son emplacement rêvé, face à la mer. Pascal Borrell, Catalan pur souche, a choisi d’y jeter ses filets après avoir navigué jusqu’aux grandes maisons parisiennes, de Ledoyen à Alain Passard. La grande affaire du Fanal, c’est évidemment le poisson qui est livré quasi-vif en cuisine : merlu de palangre, braisé minute et tagliatelles de calamar, turbot sauvage rôti au beurre de safran, mais aussi homard bleu en civet au banyuls, tartare de poissons aux aromates à l’huile d’olive d’Argoudeil (une variété endémique rarissime), bouillabaisse de pêche locale… Des recettes créatives et épurées, pleines de relief et gorgées de soleil.
l'Auberge du Cellier
(Montner)
Il était une fois un petit village du Roussillon, paisible et reculé... Dans cette charmante maison locale, Pierre-Louis Marin – un enfant du pays revenu aux sources – s'approvisionne surtout chez les petits producteurs locaux et concocte une cuisine délicate, sincère et riche en saveurs, à l'instar du poisson sauvage du moment, chakchouka au safran, romesco, citron confit au sel. On s'installe dans la salle, ou, au beaux jours, sur la terrasse ombragée abritée du vent, avec vue sur la campagne. Quant aux chambres, elles sont simples mais agréables. Menu truffes en été. On passe un agréable moment.
Le Parc les Crayères
(Reims)
Toute l’élégance et le raffinement de la haute gastronomie française. Un cadre majestueux qui concentre l’art de vivre à la française, empreint de raffinement et de précision dans l’élaboration d’un univers chaleureux : au restaurant « Le Parc » **, le moindre détail devient naturel et apaisant.
La Villa Madie
(Cassis)
Nichée dans l’Anse de Corton, un récif bien connu des Cassidains, La Villa Madie fait face à la Méditerranée avec cette terrasse qui la surplombe et annonce une véritable escapade Gastronomique entre Terre et Mer ! C’est à Cassis, village authentique, que Marielle et Dimitri Droisneau ont décidé de partager leur amour pour ce Terroir magnifique au travers d’une Cuisine qui témoigne de sa grande diversité.
La Madeleine
(Sens)
Le bourguignon Patrick Gauthier a quitté le cœur de Sens pour s'installer dans un restaurant ultramoderne, au bord de la rivière. Le design s’inspire de ses innombrables voyages en Scandinavie et en Asie. "Cuisinier avant tout", comme il se définit, ce chef passionné continue de présenter lui-même son menu du jour. Amoureux des marchés locaux, il signe une cuisine authentique, à base de beaux produits, très enlevée et pleine de saveurs : pétulante poêlée de girolles avec leur tranche de foie gras ; belle darne de turbot, fenouil, oignon rouge et truffe d’été ; magnifiques myrtilles sauvages et crème glacée au lait d’amande.
Le carré d'Alethius
(Charmes-sur-Rhône)
Entre Drôme et Ardèche, il souffle comme un parfum de Provence dans cette "maison romaine" dédiée au sénateur Aléthius. La villa est organisée autour de sa cour carrée, délicieux patio verdoyant où l’on s’attable aux beaux jours. Jeune légionnaire chez Jean-Michel Lorain à la Côte Saint-Jacques, Olivier Samin est devenu centurion chez Anne-Sophie Pic, l’emblématique chef trois étoiles de Valence où il a longtemps exercé le poste de second. Il compose une cuisine fraîche et sensible, au gré du marché (fruits et légumes régionaux, escargots de l’Eyrieux, fromages locaux) et des saisons (un menu est dédié à la truffe l’hiver, un autre au homard l’été), avec un sacré sens de l'équilibre : cuissons précises, veloutés et crèmes d'une légèreté aérienne. Carrément délicieux.
La Table de Franck Putelat
(Carcassonne)
Doublement étoilé au guide Michelin depuis mars 2012, Franck Putelat vous propose une cuisine inventive, un mariage de saveurs et des produits sublimés qui transformeront votre moment gastronomique en une expérience singulière "classique-fiction".
Le taillevent
(Paris)
L’établissement, summum de classicisme à la française, est désormais propriété de la famille Gardinier (Les Crayères à Reims). L’ancien hôtel particulier du duc de Morny (19e s. ), classique, feutré et propice aux repas d’affaires, est parsemé d'œuvres d’art contemporain. Nouveauté : l'institution rajeunit, avec deux nouvelles arrivées, en salle et en cuisine. Installez-vous sous les moulures et boiseries blondes. Dans l’assiette, poireaux en croûte de sel truffé, mimosa de cèpes, essence sauvage poivrée ; langoustine à la nage, tartare d’algues, crémeux iodé, consommé ; rouget barbet confit, concentré torréfié, butternut, foie gras... Enfin, cerise sur le gâteau : les crêpes Suzette flambées du chef pâtissier François Josse, d'abord au Grand Marnier puis au Cognac, un classique.
La table d'Hervé Busset
(Conques)
Sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, non loin de l’abbatiale Sainte-Foy décorée par Pierre Soulages, cet ancien moulin aux toits de lauze se mire dans les eaux du Dourdou. Dans cet écrin de verdure, Hervé Busset, un chef autodidacte, a fait son nid. Formé, non par de grands chefs, mais par l’ethnobotaniste François Couplan, il ramasse chaque matin herbes et plantes sauvages pour concocter une cuisine nature et très "santé", sans lactose ni gluten. Sureau, plantain, lierre terrestre, fenouil sauvage, bergamote, pimprenelle et fleur de bourrache escortent de beaux produits locaux. Sur cette trame, ce cuisinier ne cesse d'innover : il varie les garnitures et superpose les saveurs, poudres, émulsions… un régal.
l'Auberge de Saint-Rémy
(Saint-Rémy-de-Provence)
Fanny Rey, finaliste de Top Chef 2011, est aux fourneaux de cette vénérable Auberge (et ancien relais de diligence) qui s’abrite derrière un portail discret du boulevard circulaire. Derrière, on découvre une cour avec sa fontaine design et ses ombrelles en suspension – tout un chic contemporain pour une belle soirée d’été. Aux fourneaux, la cheffe décline une savoureuse cuisine du marché, se jouant des terroirs et des influences, de la Méditerranée à la Bretagne. À ses côtés, on trouve nul autre que... Jonathan Wahid, son compagnon (et frère de Sylvestre, brillant chef parisien). Ce pâtissier émérite et ancien champion de France du dessert sait mettre en valeur les bons produits du Sud gorgés de soleil comme la figue.
Restaurant Alexandre
(Garons)
Curieux, en perpétuelle ébullition, Michel Kayser replace l’humain au cœur de ses préoccupations. Excellence, authenticité, partage et enthousiasme caractérisent la cuisine du Chef Michel Kayser. On retrouve dans sa gastronomie toutes les facettes de sa personnalité : gourmande, audacieuse, rassurante et émotive ! Les produits de qualité et gardois, conditions indispensables, sont magnifiés par le talent et une technique incontestablement maîtrisée. On ne reste pas indifférent à cette expérience culinaire. La cuisine de ce grand chef a pour don de suspendre le temps. Un moment éphémère dont le souvenir vous accompagne…
Hostellerie Jérome
(La Trubie)
Oh, la noble hostellerie ! Oh, le pimpant décor à l’italienne ! Oh, l’incroyable cave de 40 000 bouteilles ! Chez Bruno Cirino, on s’exclame avant même d’avoir pris place. Et ce n’est que le début. Il est vrai que son restaurant, l’ancien réfectoire d’une annexe de l’abbaye de Lérins, a de l’allure : vaste hauteur sous plafond, voûte peinte, fresques fruits et légumes façon Pompéi, beau carrelage et cheminée du 17e s. Une petite terrasse fleurie profite d’une échappée vers la mer. Nous attendons désormais les assiettes, tous sens éveillés. Bruno Cirino symbolise l’homme méridional dans toute sa splendeur : généreux, tenace, plein de caractère et s’exprimant avec autant de gestes que de mots. Sa cuisine, locavore (pêche d’à côté, légumes des paysans), a un pied en France et l’autre en Italie. Le grand terroir méditerranéen est son terrain de jeu. Tout le Sud est là.
Les Bories
(Gordes)
Au cœur du Luberon, cette bastide jouit d’un cadre idyllique, à la fois secret et grand ouvert sur la garrigue avec son parc, ses jardins aromatiques et ses piscines chauffées. Le chef Grégory Mirer est un ancien de chez Robuchon et Mauro Colagreco. Sa cuisine contemporaine revisite avec délicatesse et équilibre le terroir méditerranéen, à l’image de ce blanc de seiche et têtes d’encornets grillés, mousseline de pomme de terre, câpres en tempura, poireaux grillés et herbes sauvages. Au dessert ce soir, une belle démonstration gourmande et technique que cette composition autour de la fraise, garnie de compotée de fraises ou de sorbet, posée sur un délicieux clafoutis à la pistache… Les saveurs provençales prennent ici toute leur dimension.
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